L'intervention de Macron... pour les Nuls !

Publié le par Bernard Aubin

L'intervention Emmanuel Macron le 10 DÉCEMBRE 2018 à 20h00, commentée en Rouge et en Italique dans le texte original.

 

 

Paris – Lundi 10 décembre 2018

Françaises, Français, nous voilà ensemble au rendez-vous de notre pays et de notre avenir. Les événements de ces dernières semaines dans l'Hexagone et outremer ont profondément troublé la Nation. Ils ont mêlé des revendications légitimes et un enchaînement de violences inadmissibles et je veux vous le dire d'emblée : ces violences ne bénéficieront d'aucune indulgence (hormis les casseurs, extrémistes et autres anarchistes, tout le monde condamne la violence. Mais nous devons nous poser une question fondamentale. Si cette violence ne s'était pas déclarée, si elle n'avait pas eu les conséquences humaines et surtout économiques qu'elle a provoquée, le Gouvernement serait-il sorti de sa tour d'ivoire ? Le Président de la République aurait-il cessé ses provocations régulières et blessantes, formulées la plupart du temps à l'autre bout du monde ? C'est dire à quel point le dialogue social a été anihilé dans notre pays. La faute à qui ?).

 

Nous avons tous vu le jeu des opportunistes qui ont essayé de profiter des colères sincères pour les dévoyer. Nous avons tous vu les irresponsables politiques dont le seul projet était de bousculer la République, cherchant le désordre et l'anarchie (Nous avons tous vu aussi un homme et ses sbires, tous pétris d'ambition personnelle, en quête de gloire, alimenter jour à après jour une poudrière. Nous avons tous vu comment les mêmes, conjuguant mépris et provocation, ont allumé la mèche qui mit le feu aux poudres. Nous avons vu de quelle manière, ils avaient préalablement fermé toutes les casernes de pompiers, en négligeant, discréditant et affaiblissant les partenaires sociaux. Nous avons tous constaté à quel point les vrais responsables de cette révolte désignent la paille dans l’œil de leurs opposants et ignorent la poutre qu'ils dressent devant la réalité). Aucune colère ne justifie qu'on s'attaque à un policier, à un gendarme, qu'on dégrade un commerce ou des bâtiments publics (Sans doute, mais cette colère, évitable, a été délibérément provoquée, et il eut été souhaitable d'établir une distinction entre la colère des Gilets Jaunes et les déprédations et autres exactions commises par les casseurs). Notre liberté n'existe que parce que chacun peut exprimer ses opinions, que d'autres peuvent ne pas les partager sans que personne n'ait à avoir peur de ces désaccords.

Quand la violence se déchaîne, la liberté cesse. C'est donc désormais le calme et l'ordre républicain qui doivent régner. Nous y mettrons tous les moyens car rien ne se construira de durable tant qu'on aura des craintes pour la paix civile. J'ai donné en ce sens au gouvernement les instructions les plus rigoureuses (Quels moyens, au juste ? La coercition, des attaques dirigées contre les Gilets Jaunes, un encouragement de la fermeté policière à leur encontre ? La solution la plus simple n'est-elle pas d'être plus à l'écoute du peuple français, tout simplement ?).

Mais au début de tout cela, je n'oublie pas qu'il y a une colère, une indignation et cette indignation, beaucoup d'entre nous, beaucoup de Français peuvent la partager et celle-là, je ne veux pas la réduire aux comportements inacceptables que je viens de dénoncer. 

Ce fut d'abord la colère contre une taxe et le Premier ministre a apporté une réponse en annulant et en supprimant toutes les augmentations prévues pour le début d'année prochaine (Si cela avait été fait tout de suite, nous n'en serions pas là... Tant va la cruche à l'eau qu'à un moment elle se casse. C'est sous la contrainte, par crainte d'une insurrection, et devant la montée de la violence, que le Gouvernement a fini par céder. Jusque là, il n'avait fait preuve que de fermeté et d'autisme) mais cette colère est plus profonde, je la ressens comme juste à bien des égards. Elle peut être notre chance (Pas sûr que ce soit la tienne !)

C'est celle du couple de salariés qui ne finit pas le mois et se lève chaque jour tôt et revient tard pour aller travailler loin (Tiens, cette fois, il ne suffit plus de traverser la route pour bosser ?).

C’est celle de la mère de famille célibataire, veuve ou divorcée, qui ne vit même plus, qui n'a pas les moyens de faire garder les enfants et d'améliorer ses fins de mois et n'a plus d'espoir. Je les ai vues, ces femmes de courage pour la première fois disant cette détresse sur tant de ronds-points ! (Oui, tu les as vue, et qu'avais-tu fait pour les aider ?).

C’est celle des retraités modestes qui ont contribué toute leur vie et souvent aident à la fois parents et enfants et ne s'en sortent pas (des retraités qui ont construit le pays qui nourrit tes ambitions personnelles, et que tu as récompensés en augmentant la CSG !).

C’est celle des plus fragiles, des personnes en situation de handicap dont la place dans la société n'est pas encore assez reconnue. Leur détresse ne date pas d'hier mais nous avions fini lâchement par nous y habituer et au fond, tout se passait comme s'ils étaient oubliés, effacés (C'est vrai que lorsque l'on vit dans le confort, en bonne santé, on a vite tendance à oublier les vieux, les malades et les handicapés... Il est indispensable d'ouvrir les yeux parfois avant d'être rattrapé par le sort. Un des prédécesseurs de Macron pourrait en parler, s'il est encore en mesure de s'exprimer !)

Ce sont quarante années de malaise qui resurgissent (oui, quarante années de malaise assorties de 18 mois de provocation intensive) : malaise des travailleurs qui ne s'y retrouvent plus ; malaise des territoires, villages comme quartiers où on voit les services publics se réduire (et la perspective de suppression des petites lignes ferroviaires ? Tu l'as oubliée ? C'est pas ton Gouvernement qui a massacré la SNCF et ses cheminots ?) et le cadre de vie disparaître ; malaise démocratique où se développe le sentiment de ne pas être entendu ; malaise face aux changements de notre société, à une laïcité bousculée (pourquoi ne pas appeler les choses par leur nom : la dangereuse montée des intégrismes ? Trop facile de mettre toutes les religions dans le même paniers !) et devant des modes de vie qui créent des barrières, de la distance (modes de vie que, par un silence opportun, tu as encouragés! ) .

Cela vient de très loin mais c'est là maintenant (maintenant ? Il suffit de se promener dans les rues des villes et même des villages depuis une dizaine d'années et d'ouvrir les yeux !).

Sans doute n'avons-nous pas su depuis un an et demi y apporter une réponse suffisamment rapide et forte (c'est un chose, à l'impossible nul n'est tenu. Mais la provoc., tu aurais pu t'en passer !). Je prends ma part de cette responsabilité (ma part ? Tu es le premier responsable !). Il a pu m'arriver de vous donner le sentiment que ce n'était pas mon souci, que j'avais d'autres priorités (comme faire le tour du monde, parader devant les chefs d'Etats, leur donner des leçons...). Je sais aussi qu'il m'est arrivé de blesser certains d'entre vous par mes propos (ah bon... Mais PAS D'EXCUSES POUR AUTANT, Jupiter ne s'excuse jamais, même quand il a fait le con, même après avoir mis la France à feu et à sang !). Je veux ce soir être très clair avec vous. Si je me suis battu pour bousculer le système politique en place, les habitudes, les hypocrisies, c'est précisément parce que je crois plus que tout dans notre pays (dans le pays en temps que ressource économique ou dans ses habitants) et que je l'aime et ma légitimité, je ne la tire d'aucun titre, d'aucun parti, d'aucune coterie ; je ne la tire que de vous, de nul autre (c'est hélas bien là le problème... Facile d'élire quelqu'un qui n'a jamais caché ni ses ambitions, ni sa personnalité, et de descendre ensuite dans la rue pour combattre des orientations pourtant connues à l'avance ou prévisibles... Petit rappel : il y avait 2 tours aux élections présidentielles, et pléthore de candidats au premier !).

Nombre d'autres pays traversent ce mal vivre qui est le nôtre (mais tous n'ont pas à sa tête un irréductible provocateur) mais je crois profondément que nous pouvons trouver une voie pour en sortir tous ensemble. Je le veux pour la France parce que c'est notre vocation au travers de l'Histoire d'ouvrir ainsi des chemins jamais explorés pour nous-mêmes et pour le monde (à force d'en faire le tour depuis 18 mois, tu en sais quelque chose !).

Je le veux pour nous tous Français parce qu'un peuple qui se divise à ce point, qui ne respecte plus ses lois et l'amitié qui doit l’unir est un peuple qui court à sa perte (ça fait longtemps que le peuple français est divisé, qu'il se plaît à piétiner ses propres valeurs et son histoire, soutenu dans cette direction par de nombreux politicards et autres bobos inconscient des conséquences à long terme de leurs actes... Puissent les Gilets Jaunes te redonner espoir. Ne les as-tu pas entendus entonner ensemble la Marseillaise, ne les as-tu pas vu arborer fièrement le drapeau français ? De toutes origines et religions, dans les ronds-points, au bord des routes, ils t'ont donné une leçon d'unité à la française !)

Je le veux aussi parce que c'est en pressentant cette crise que je me suis présenté à votre suffrage pour réconcilier et entraîner (C'est pour le moins raté !) et que je n'ai pas oublié cet engagement et cette nécessité (Un Macron totalement amnésique !).

C’est d'abord l'état d'urgence économique et sociale (économique, on a compris ! Sociale, vraiment ?) que je veux décréter aujourd'hui. Nous voulons bâtir une France du mérite, du travail (il n'y a plus qu'à trouver des emplois pour les 6 millions de chômeurs !), une France où nos enfants vivront mieux que nous. Cela ne peut se faire que par une meilleure école (un école où l'on réapprendra aux enfants à lire, à écrire, à calculer, à respecter les autres et les adultes, à renouer avec les bases de la morale, avec la culture et l'histoire de notre pays,...?), des universités, de l'apprentissage et des formations qui apprennent aux plus jeunes et aux moins jeunes ce qu'il faut pour vivre libre et travailler. 

L’investissement dans la Nation, dans l'école et la formation est inédit et je le confirme.

Nous voulons une France où l'on peut vivre dignement de son travail ? Sur ce point, nous sommes allés trop lentement. Je veux intervenir vite et concrètement sur ce sujet. Je demande au gouvernement et au Parlement de faire le nécessaire afin qu'on puisse vivre mieux de son travail dès le début de l'année prochaine. Le salaire d'un travailleur au SMIC augmentera de 100 euros par mois dès 2019 sans qu'il en coûte un euros de plus pour l'employeur (un premier pas pour les smicards, quid de tous les autres qui survivent avec de bas revenus ? Quid de la classe moyenne, toujours ponctionnée, toujours écartée des mesures positives ?).

Je veux renouer avec une idée juste : que le surcroît de travail accepté constitue un surcroît de revenu ;  les heures supplémentaires seront versées sans impôts ni charges dès 2019 (Une aubaine pour les chômeurs, les salariés à temps partiel imposé, ou tout simplement pour tout ceux qui ont déjà du mal à boucler un temps plein !). Et je veux qu'une vraie amélioration soit tout de suite perceptible ; c'est pourquoi je demanderai à tous les employeurs qui le peuvent, de verser une prime de fin d'année à leurs employés et cette prime n'aura à acquitter ni impôt ni charge (Macron est devenu communiste, c'est à dire généreux avec l'argent des autres!).

 
Les retraités constituent une partie précieuse de notre Nation. Pour ceux qui touchent moins de 2 000 euros par mois, nous annulerons en 2019 la hausse de CSG subie cette année ; l'effort qui leur a été demandé, était trop important et il n'était pas juste (Il n'était pas juste pour l'ensemble des retraités !). Dès demain, le Premier ministre présentera l'ensemble de ces décisions aux parlementaires.

Mais nous ne devons pas nous arrêter là. J'ai besoin que nos grandes entreprises, nos concitoyens les plus fortunés, aident la Nation à réussir (c'est le minimum que l'on puisse demander aux entreprises qui multiplient les profits, contournent l'impôt, délocalisent à tour de bras ou font appel une main d'oeuvre étrangère exploitée et sous-payée); je les réunirai et prendrai des décisions en ce sens dès cette semaine. Je sais que certains voudraient dans ce contexte que je revienne sur la réforme de l'impôt sur la fortune mais pendant près de 40 ans, il a existé ; vivions-nous mieux durant cette période ? Les plus riches partaient et notre pays s'affaiblissait (Macron a raison : l'ISF fait fuir les plus fortunés... mais pourquoi ? Parce qu'à défaut d'harmonisation économique et fiscale mondiale ou européenne, il y aura toujours possibilité, pour les plus riches, de limiter les prélèvements fiscaux en s'expatriant. Cette question dépasse largement le cadre de notre pays et ne débouchera pas sur des solutions favorables avant longtemps. Mais là où le bât blesse, c'est que Macron est un LIBÉRAL, et que le libéralisme aggrave la situation plus qu'il ne résout les problèmes des salariés. Le libéralisme met à bas les lois qui protègent la société, les entreprises et services publics... avec pour seule finalité d'augmenter les profits des plus riches. Au final, la situation ne pourra donc qu'empirer) . Conformément aux engagements pris devant vous, cet impôt a été supprimé pour ceux qui investissent dans notre économie et donc aident à créer des emplois (on ne les a pas vus !) ; et il a été maintenu au contraire pour ceux qui ont une fortune immobilière.

Revenir en arrière nous affaiblirait alors même que nous sommes en train de recréer des emplois dans tous les secteurs. Cependant, le gouvernement et le Parlement devront aller plus loin pour mettre fin aux avantages indus et aux évasions fiscales. Le dirigeant d'une entreprise française doit payer ses impôts en France et les grandes entreprises qui y font des profits doivent y payer l'impôt, c'est la simple justice (un justice simple, mais détournée par de grands groupes qui multiplient les profits, en France, et n'y paient pas d'impôts. C'est une fois de plus du fait de législations libérales européennes et mondiales qui autorisent, voire encourage, ce genre de dérive ! Des textes que Macron soutient sans réserve !).

Vous le voyez, nous répondrons à l'urgence économique et sociale par des mesures fortes, par des baisses d'impôts plus rapides (si c'est comme l’escroquerie de la pseudo suppression de la taxe d'habitation...), par une meilleure maîtrise des dépenses (prétexte à supprimer encore des services publics ? On te voit venir !) plutôt que par des reculs. 

J’entends que le gouvernement poursuive l'ambition des transformations de notre pays que le peuple a choisie il y a maintenant 18 mois (ON GARDE LE CAP !); nous avons devant nous à conduire une réforme profonde de l'Etat, de l'indemnisation du chômage et des retraites. Elles sont indispensables. Nous voulons des règles plus justes, plus simples, plus claires et qui récompensent ceux qui travaillent (Chaque fois qu'un Gouvernement évoque l' « équité » ou la « justice sociale », c'est en vue d'opérer un nouveau nivellement vers le bas des acquis sociaux... En résumé, Macron s'appuie sur le mouvement des Gilets Jaunes pour justifier l'accélération des réformes et de la politique qu'il a lancée. Ce qui s'appelle en français, du « foutage de gueule »).

Mais aujourd'hui, c'est aussi avec notre projet collectif que nous devons renouer. Pour la France et pour l'Europe. C'est pourquoi le débat national annoncé doit être beaucoup plus large. Pour cela, nous devons avant toute chose, assumer tous ensemble tous nos devoirs. Le devoir de produire pour pouvoir redistribuer, le devoir d'apprendre pour être un citoyen libre, le devoir de changer (Changer, tout le monde veut changer, mais pas sûr que ce soit vers un même objectif !) pour tenir compte de l'urgence de notre dette climatique et budgétaire.

Pour réussir, nous devons nous rassembler et aborder ensemble toutes les questions essentielles à la Nation. Je veux que soient posées les questions qui touchent à la représentation ; la possibilité de voir les courants d'opinion mieux entendus dans leur diversité, une loi électorale plus juste, la prise en compte du vote blanc et même que soient admis à participer au débat des citoyens n'appartenant pas à des partis. Je veux que soit posée la question de l'équilibre de notre fiscalité pour qu'elle permette à la fois la justice et l'efficacité du pays (encore des débats, des Grenelles d'on ne sait quoi, des états généraux amuse-bobos qui enfoncent des portes ouvertes et ne vendent que des illusions ! Les attentes des uns et des autres sont  publiques, il suffit de les écouter...). Je veux que soit posée la question de notre quotidien pour faire face aux changements climatiques : se loger, se déplacer, se chauffer. Et les bonnes solutions émergeront aussi du terrain. 

Je veux que soit posée la question de l'organisation de l'Etat, de la manière dont il est gouverné et administré depuis Paris, sans doute trop centralisé depuis des décennies (Tu oublies que tu as fait partie d'un Gouvernement qui a fusionné les régions... pour éviter le centralisme sans doute ?). Et la question du service public dans tous nos territoires. 

Je veux aussi que nous mettions d'accord la Nation avec elle-même sur ce qu'est son identité profonde (en reste-t-il encore quelque chose?), que nous abordions la question de l'immigration (et peut-être aussi des conditions d'intégration !). Il nous faut l'affronter.

Ces changements de fond qui demandent une réflexion profonde et partagée, imposent un débat sans précédent (Certes, mais encore un... Encore faut-il avoir la volonté de s'en inspirer!). Il devra se dérouler au niveau national dans nos institutions, chacun y aura sa part : gouvernement, assemblées, partenaires sociaux et associatifs ; vous y aurez votre part (Ah bon, d'habitude, Jupiter ou plutôt Attila avait oublié jusqu'à leur existence!). Je veux en assurer moi-même la coordination, en recevoir les avis, prendre ainsi le pouls (Mieux vaut prendre le pouls que le poing, en effet!) vivant de notre pays.

Mais un tel débat n'est pas seulement affaire de représentants institutionnels ; il doit se dérouler aussi partout sur le terrain et il est des interlocuteurs naturels, des citoyens qui doivent en recevoir les demandes et s’en faire les relais : ce sont les maires (Ceux que j'ai placés dans une situation intenable, ceux que je n'ai pas eu le courage de rencontrer...) ; ils portent la République sur le terrain. C'est pourquoi je rencontrerai moi-même les maires de France (Enfin !), région par région, pour bâtir le socle de notre nouveau contrat pour la Nation.

Nous ne reprendrons pas le cours normal de nos vies, comme trop souvent par le passé dans des crises semblables, sans que rien n'ait été vraiment compris et sans que rien n’ait changé. Nous sommes à un moment historique pour notre pays : par le dialogue (En langage Macron, dialogue signifie monologue ou explication de texte), le respect, l’engagement, nous réussirons.

Nous sommes à la tâche et je reviendrai m'exprimer devant vous pour vous rendre compte.

Mon seul souci, c’est vous ; mon seul combat, c'est pour vous. 

Notre seule bataille, c'est pour la France (Des riches ou de tous les français ?).

Vive la République, vive la France (Et vive les Gilets Jaunes, qui ont, le temps de quelques manifs, fait revenir Macron sur terre !).


 

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